La mobilisation des fonds ne constitue que la première étape. La destination de ces fonds, leurs utilisations, leurs gestionnaires et la responsabilisation de ces gestionnaires sont tous des aspects importants. Les agences humanitaires doivent-elles accorder la priorité à la facilitation de l’accès des réfugiés rohingyas au poisson dont ils raffolent, ou opter pour le régime alimentaire prescrit pour les camps de réfugiés ? Comment l’aide aux infrastructures affecte-t-elle l’environnement et la société d’un pays bénéficiaire ? Développer des outils pour mesure la dynamique de l’aide est essentiel pour comprendre comment améliorer les sociétés sans leur porter préjudice.